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 Evan Moore - « Le désir mène au plaisir »

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AuteurMessage
Evan Moore
Envie
Evan Moore


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~ Mon histoire ~

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Evan Moore - « Le désir mène au plaisir »  Empty
MessageSujet: Evan Moore - « Le désir mène au plaisir »    Evan Moore - « Le désir mène au plaisir »  I_icon_minitimeSam 15 Sep - 21:47





1 - identification

Evan Moore - « Le désir mène au plaisir »  View.php?img=23091629evan-moore-5-


    NOM : Moore
    Prénom(s) : Evan Jay
    Âge : 20 ans
    Date de naissance : 17/04/1992
    Statut (employé(e)/invité(e)) : Employée
    Péché prédominant : L'Envie











2 - personnalité
Répondez...

Une couleur ? Le vert
Un animal ? Un lynx
Une chanson ? Satisfaction - The Rolling Stones
Une saison ? L'automne... pour ses belles couleurs.
Une activité pour se défouler ? Courir sous la pluie
Un moment de la journée ? Le matin. « L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt »

Complétez...

Le matin au réveil, je... prends une douche froide pour me réveiller.
Quand on m'énerve, je... dis des choses que je regrette par la suite.
Entre les hommes et les femmes, je préfère... les femmes.
Ce que j'aime le plus au monde, c'est... mon petit frère, Caleb.
Ce que je hais le plus au monde, c'est... les questions stupides.









3 - biographie


« Mais... c'est un nom de garçon. On ne sait même pas encore quel est le sexe du bébé.

- Ce sera Evan, je te dis. »

Après ça, ma mère n'a probablement plus rien dit. Depuis toujours, il suffit que mon père hausse un peu le ton pour que tout le monde se taise. Et si vous continuez à l'ouvrir, il n'hésitera pas à se faire entendre en usant de sa force. Comme il mesure à peu près deux mètres pour 100 kilos de muscles, c'est plutôt risqué de lui tenir tête... j'ai souvent fait les frais de mon caractère rebelle et incapable de se soumettre à une autorité que je ne trouve pas juste.

Bref, commençons par le commencement. Je m'appelle Evan Jay Moore. Prénom de mon grand-père, plus prénom de mon père plus nom de mon père. Dès le début, c'était mal parti pour que je m'entende avec mon paternel. Je suis née le 17 avril 1992 à Pluckley, petit village situé dans le sud de l'Angleterre et réputé pour ses histoires de fantômes. J'y ai vécu une enfance assez banale, peut-être un peu moins rose que la plupart des gamins du village, mais je ne supporte pas les récits de martyrs alors je vais tenter de raconter les faits de manière concise et éviter les détails larmoyants.
Il arrivait souvent que mon frère Caleb et moi n'allions pas à l'école. Ma mère oubliait parfois de nous y emmener, ou elle nous réquisitionnait pour l'aider dans son travail de couturière. C'était souvent nous qui préférions rester à la maison et travailler plutôt que d'aller en cours. Surtout mon frère, de 8 ans mon cadet. Je n'ai jamais pu le vérifier étant donné qu'on n'a pas fréquenté les mêmes établissements au même moment, mais je suis sûre qu'il se faisait persécuter par des garçons de sa classe. Quant à moi, l'école m'a toujours rendue malade. Je n'y voyais que ce que je ne pourrais jamais avoir... La plupart des gamins de ma classe se moquaient de moi parce que je portais souvent les mêmes vêtements, rapiécés et recousus de toutes parts.
C'est à mon entrée en primaire que la petite fille que j'étais a commencé à ressentir de l'envie. Pour tout ce que je n'avais pas et n'aurais jamais, autant sur le plan matériel qu'immatériel. Dans la première catégorie : des vêtements qui sentent bon et qui ne datent pas d'il y a dix ans, autre chose à manger que de la purée et des boîtes de conserve, des jouets qui ne soient pas entièrement déglingués ou en pièces détachées. Dans la seconde : une famille normale, des amis, et surtout, un peu d'intimité. Nous vivions dans une maison exiguë où il était impossible d'avoir la paix. Pas de salle de bain, mais une simple cabine de douche dans un coin de la cuisine. J'ai fait beaucoup de bêtises, par jalousie. Il m'est arrivé de coller un chewing-gum dans les longs cheveux blonds d'une camarade de classe parce que ma mère me forçait à me les couper courts alors que je rêvais de les laisser pousser. J'ai aussi crevé les pneus du vélo flambant neuf d'une autre fille, parce que je crevais d'envie d'en posséder un au lieu de devoir marcher deux kilomètres chaque jour - qu'il vente ou qu'il pleuve-, jusqu'à l'école. J'ai même fait pire... mais je préfèrerais qu'on ne s'attarde pas là-dessus.
Il y a eu un moment où je ne pouvais plus supporter tout ça. Je pense que c'est à peu près à l'époque où j'ai commencé à me rendre compte que je devenais une femme et que mes parents réagissaient différemment lorsque je sortais de la douche. Ma mère, qui se précipitait pour m'envelopper d'une serviette et mon père, dont le regard me donnait envie de vomir.
La première fois que je suis partie de la maison, j'avais 16 ans. Je suis restée vivre chez une amie pendant deux mois, avant de rentrer, pour mon frère. Depuis mon départ, notre père se défoulait sur lui à chaque saute d'humeur. Il savait comment me faire revenir. Je suis partie pour de bon à 18 ans, incapable de supporter la sphère familiale qui se refermait sur moi jour après jour, de plus en plus toxique. C'était une question de vie ou de mort. Soit je restais, et je devenais comme ma mère, soumise à lui et incapable de penser par moi-même, soit je partais et me débrouillais pour survenir à mes propres besoins. J'ai quitté le lycée, je me suis trouvé un petit job dans une supérette. Les premiers mois n'ont pas été faciles... mais je m'en suis plutôt bien sortie. Depuis, je fais en sorte de rendre visite à Caleb de temps en temps, même si ça me rend malade de retourner à la maison. Il a maintenant 12 ans et se renferme de plus en plus sur lui-même. Quand j'aurai assez de moyens, je m'arrangerai pour qu'il vienne vivre avec moi.

Il y a deux semaines, j'ai reçu une lettre. Un de mes anciens amis de lycée m'a contactée pour me proposer de travailler pour son oncle plein aux as. Il s'agit d'aller travailler en tant que femme à tout faire dans son manoir situé sur une île au large de l'Atlantique. En gros, je serai chargée de préparer les repas pour un gros riche et ses invités, m'occuper du jardin, du ménage et d'être aux petits soins pour tout le monde. La gerbe. Heureusement, c'est extrêmement bien payé. Je vais gagner en deux mois ce que je gagnerais en une année de travail à la supérette. Pourquoi refuserais-je ?








4 - caractéristiques diverses
Attributs Physiques :
Je suis et ai toujours été dans la moyenne. Certaines personnes disent que c'est mon visage qui me rend un tant soit peu particulière. Il paraît que les termes "regard de chat" et "lèvres pulpeuses" s'appliquent à mon cas. Soit, je ne saurais dire s'ils ont raison, j'ai autre chose à faire que de passer mon temps à me contempler dans un miroir. Comment ça, il vous faut des détails ? Eh bien ouvrez les yeux : je dois mesurer dans les 1m70 (veuillez excuser mon imprécision, je ne me suis pas mesurée depuis deux ans au moins), pour une soixantaine de kilos. Mes yeux sont gris, et mes cheveux bruns au naturel, sauf qu'il m'arrive de me faire des mèches plus claires. Ma peau est claire, mais bronze plutôt bien dès que le soleil pointe son nez. J'ai pas mal de grains de beauté sur le cou et dans le décolleté. La Nature ne m'a pas dotée dans l'excès : j'ai une poitrine plutôt menue, une taille relativement fine et des jambes qui mériteraient de faire un peu plus d'exercice. En résumé, je ne suis ni un monstre, ni un canon de beauté. Mais comme on dit... ce sont les détails propres à chacun qui font toute la différence.

Profil Psychologique (10 lignes minimum) :
Autant vous le dire tout de suite : je ne suis pas du genre à me laisser marcher sur les pieds. Quand quelque chose me plaît, je le dis, quand c'est l'inverse, je le fais savoir aussi. On m'a déjà dit que mon regard intimidait. C'est vrai que j'ai la mauvaise manie de scruter, d'essayer de déchiffrer les intentions de quelqu'un en plongeant mon regard dans celui de l'autre... mais c'est simplement parce que je n'aime pas qu'on me mente. Je m'emporte vite, et c'est là un de mes plus gros défaut. Je peux sembler calme en apparence mais il suffit de pas grand chose pour me mettre le feu aux poudres. Heureusement, je sais me contrôler et je suis plutôt du genre à aller me calmer dans mon coin plutôt que de tout exploser sur mon passage. Le problème, c'est que je dis souvent des choses que je ne pense pas, ce qui me vaut la réputation d'être "cassante" ou même "blessante". Ce n'est pas ma faute... ma bouche n'est pas toujours reliée à mon cerveau et je parle parfois sans réfléchir. Avec moi, c'est souvent tout noir ou tout blanc. D'aucuns me traiteraient "d'extrémiste", mais je me qualifie plutôt d'obstinée. Il en faut beaucoup pour me faire changer d'avis sur quelqu'un ou sur quelque chose car j'ai des idées très arrêtées. Oui... on peut résumer tout ça en un seul mot : têtue.

Petit(s) plus :
Quand on prend la peine de me connaître, de passer outre cette carapace qui me fait passer pour une grosse brute, je suis plutôt sympa. Je suis même prête à me sacrifier pour les gens que j'aime vraiment. Bien évidemment, ces derniers se comptent sur les doigts d'une seule main...

Connaissances ( décrivez en quelques mots vos liens) :
Ici ? Je ne connais personne. De toute façon, je ne suis pas là pour me faire des amis. J'ai des consignes strictes à respecter, un travail à faire. Et le salaire qui m'attend au bout est assez élevé pour que je fasse ce qu'on me demande.











5 - le joueur / la joueuse

Quelle célébrité avez vous choisie ?  : Jennifer Lawrence
Comment avez-vous connu le forum?  : Je suis tombée par hasard sur l'ancienne version et ai voulu redonner un second souffle à l'idée de base Wink
Ce qui a poussé votre inscription : L'envie de recommencer le roleplay, de m'occuper d'un forum
Avez- vous des critiques à faire ? Je ne suis pas maso non plus...


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